Encore du nettoyage ... chlorure de Magnésium
Encore une fois rappelons l'important c'est le nettoyage……. Nettoyage organisme et ne plus se salir ou du moins prendre conscience de l'enchaînent suivant...
Notre mental nous envoie des informations qui nous entraînent dans des réactions du style j aime.. Je n’aime pas....
Nous avons une banque de donnés où tout cela est soigneusement étiqueté.....je dois fuir ou riposter par rapport à ces à ce que j’ai en mémoire de la situation. delà interviennent les émotions avec productions d'hormones ....d'hormones en excès
Tout ce petit monde ce retrouve dans notre sang et notre ami le foi doit posséder une sacré foi pour nettoyer tout ce monde …
Cependant il ne pourra faire plus qu'il ne peut....et le sang chargé ne sera pas suffisamment nettoyé celui continuera à empoisonner notre organisme notre vie le mental en sera affecté et nous continuerons à régir à toutes sortes d'agressions ….présumées....
C’est le cercle vicieux.....donc nettoyons notre organisme aidons notre foi ....et pacifions notre mental passons en mode doux mode création et lâchons le mode réactions.....
le chlorure de magnésium sous forme de Nigari comme la spiruline et bien d'autres produits nous aide à retrouver la liberté d'Etre
jeanmichailes
Pourquoi ce livre sur le chlorure de magnésium ?
Marie-France Muller : J'ai exercé comme naturopathe pendant plus de 35 ans et le chlorure de magnésium, l'argile… je les ai pratiqués pendant une bonne quarantaine d'années. En fait, j'enseignais à mes clients comment se soigner avec des techniques simples. Donc, la plupart du temps, ils ne venaient pas me voir pour des bricoles, ils savaient se débrouiller par eux-mêmes.
Je pense qu'enseigner une certaine autonomie, la prise en charge personnelle, c'est important. Quand j'ai repris l'écriture de livres, j'ai décidé d'enseigner surtout des méthodes simples que chacun puisse appliquer lui-même. Le chlorure de magnésium en fait partie.
Parler de remède miracle, c'est toujours un peu difficile.
Marie-France Muller : Et pourtant… en fait, il suffit d'employer le chlorure de magnésium pour se rendre compte que cela fonctionne très bien. Il peut rendre d'immenses services dans des cas aussi courants qu'un début de grippe, une fatigue chronique, une baisse générale de tonus et toute une série de petits maux.
L'intérêt, c'est que quand on connaît le chlorure de magnésium, par exemple, on ne prend plus d'antibiotiques. C'est quand même très intéressant. J'ai une fille qui va avoir 37 ans, elle n'a jamais pris un antibiotique de sa vie. Usage interne, usage externe. C'est donc vraiment un remède utile à connaître, ainsi que la posologie et les modes d'application. Même chose pour les animaux. Chez un chat ou un chien, dès qu'il y a infection, il faut lui donner du chlorure de magnésium.
Son utilisation s'appuie uniquement sur l'observation en pratique quotidienne ?
Marie-France Muller : Non, il y a aussi une recherche scientifique sérieuse derrière tout cela. Bien que les résultats parlent d'eux-mêmes. Je commence mon livre par un résumé des travaux du professeur Pierre Delbet, déposés à l'Académie de médecine.
La publication des travaux du professeur Delbet a incité d'autres chercheurs à s'intéresser au chlorure de magnésium. En 1937, le docteur Neveu fait des essais sur le traitement de la maladie de Carré (la maladie du jeune chien). Ses expériences sont concluantes : il réussit à guérir les animaux à condition que la paralysie n'excède pas huit jours.
Mais qu'est-ce que la maladie de Carré ? La polio du chien ; il y a des similitudes entre les virus des deux pathologies. Mais l'homme ne peut pas supporter huit jours de paralysie sans que le traitement soit compromis. Le traitement au chlorure de magnésium doit donc être institué rapidement. Le docteur Neveu a ainsi obtenu de nombreux succès. Il a présenté ses travaux en 1947 au cours des Journées thérapeutiques de Paris.
Qui était le professeur Delbet ?
Marie-France Muller : Le professeur Delbet était professeur de médecine et chirurgien des hôpitaux. On lui doit la découverte des propriétés curatives et préventives du chlorure de magnésium. Au moment de la guerre de 1914-1918, il est mobilisé comme chirurgien et envoyé au front. À ce moment, comme il le dira, les antiseptiques ruisselaient et les résultats étaient déplorables. Il n'y avait pas encore les antibiotiques. C'était une catastrophe, les gens mouraient. Les infections les emportaient comme des mouches.
Il entreprend une série de recherches pour mesurer l'action des principaux antiseptiques utilisés. Il se rend compte alors que vouloir à tout prix tuer les agents infectieux n'est certainement pas la bonne piste. En détruisant les globules blancs, les antiseptiques transformaient le pus prélevé sur les plaies infectées en un excellent milieu de culture pour les microbes.
Il pense alors que le secret réside peut-être dans la stimulation des défenses immunitaires et de celles de la cellule elle-même pour qu'elle devienne capable de triompher des microbes. Il teste alors toutes sortes de substances, dont l'eau de mer. Et par hasard, il tombe sur le chlorure de magnésium. Et là, il obtient des résultats qu'il qualifiait lui-même d'extraordinaires. Dans les tubes à essais, le chlorure de magnésium augmente la phagocytose (la capacité des globules blancs à digérer les particules nuisibles, comme les microbes) de 75 % par rapport à l'action d'une solution de chlorure de sodium à 8 pour 1 000, déjà beaucoup plus efficace que toutes les autres substances étudiées.
Cela, on peut le constater soi-même si on a une plaie. J'ai un grand jardin, l'autre jour, je refaisais mon grillage, je me suis fait mal, il y avait de la terre, etc. J'applique un peu de chlorure de magnésium et j'en bois un verre et puis, c'est tout. Aucun risque de tétanos !
Le professeur Delbet qualifie de cytophylactique cette méthode de lutte contre l'infection des plaies.
Comment en est-il venu à l'utiliser par voie orale ?
Marie-France Muller : Il a voulu voir si cette action cytophylactique pouvait également se manifester au sein de l'organisme. Il va constater que par voie interne, l'action en est plus marquée et que cette solution n'est pas toxique, même lorsqu'elle est injectée dans les tissus, dans le péritoine ou les veines. Il décide alors d'utiliser le chlorure de magnésium en injections intraveineuses chez des sujets souffrants d'infections graves.
Un jour, il a dans son service de l'hôpital Necker un patient gravement blessé qui refuse les injections. Il décide de lui administrer la solution par voie buccale. Il découvre dans le même temps que ses infirmières en prenaient déjà de cette façon depuis quelque temps, ayant constaté que les malades auxquels on l'injectait semblaient en éprouver un certain bien-être. Il décide alors d'en administrer à tous les blessés de son service.
Comment en est-il arrivé à l'utiliser dans la prévention et le traitement du cancer ?
Marie-France Muller : Encore une fois, par hasard. Il s'était fait opérer à trois reprises de lésions cutanées précancéreuses qui récidivaient malgré tout. Ne sachant plus que faire, il décide de ne plus s'en préoccuper, mais prend chaque matin de la Delbiase, une formule qu'il a mise au point et qui contient sous forme de sels anhydres 379 mg de chlorure de magnésium, 13 mg de bromure de magnésium, 0,72 mcg d'iodure de magnésium et 9 mcg de fluorure de magnésium. Quelques mois plus tard, toutes les lésions avaient disparu et elles ne revinrent jamais.
Les recherches qu'il va mener montrent alors que le chlorure de magnésium stoppe l'évolution des lésions précancéreuses et les fait même régresser. Des expériences sur animaux indiquent qu'il est possible de ralentir l'évolution des cancers en saturant l'organisme de sels halogénés de magnésium.
En fait, le chlorure de magnésium n'est pas toxique pour la cellule cancéreuse. Tout organisme vivant a besoin de magnésium pour vivre, les cellules cancéreuses comme les cellules saines. Là encore, l'action du chlorure de magnésium est cytophylactique, c'est-à-dire protectrice de la cellule. Si l'on applique du chlorure de magnésium sur des cellules saines, cela va encore les renforcer, leur donner une plus grande vitalité. Par contre, des cellules malades vont voir leur pouvoir d'autoguérison s'amplifier. En fait, les sels de magnésium rétablissent le bon fonctionnement cellulaire perturbé par une pathologie.
Le professeur Delbet l'a donc également utilisé dans la prophylaxie du cancer ?
Marie-France Muller : Oui, des études géographiques poussées lui avaient permis de constater que dans des pays avec des sols très riches en magnésium, il n'y avait pratiquement pas de cas de cancers. Dans des pays comme l'Égypte ou la Tunisie où l'alimentation est particulièrement riche en magnésium en raison de la richesse des sols et de l'eau, on ne trouvait pas de cancer. On sait que même maintenant, à Hawaï, dans des terres volcaniques très riches en minéraux, les gens n'ont pas de cancer. C'est une pathologie directement liée à une immunodéficience et à une carence minérale, d'ailleurs assez globale.
D'autres travaux ont-ils été conduits sur le chlorure de magnésium ?
Marie-France Muller : Oui, les recherches ont continué. Mais nous avons surtout mis en pratique avec succès les expériences de Delbet et de Neveu, et de ceux qui les ont suivis.
Il y eut le symposium de Vichy dans les années 1980, au cours duquel des travaux sur l'intérêt du chlorure de magnésium ont été présentés. Une communication a été faite sur le chlorure de magnésium et les pathologies cardio-vasculaires.
Dans la plupart des cas de décompensation cardiaque, il y a une chute du potassium. Lorsqu'on donne alors du potassium, on constate une amélioration, mais qui est rarement durable. L'explication se trouve dans notre alimentation surdosée en potassium à cause des engrais potassiques. Or l'organisme a tendance à produire des carences également lorsqu'il y a surdosage. Il risque en effet, lorsqu'il élimine le surplus, d'en faire disparaître trop. La carence peut donc provenir de la carence d'un élément ou de son surdosage. Et dans ce cas, en éliminant le surplus, l'organisme risque d'éliminer aussi ce qui est nécessaire.
On a constaté que c'est un problème récurent en pathologie cardio-vasculaire. Et cette étude montrait que la prise de chlorure de magnésium deux fois par jour pendant trois semaines rétablissait spontanément le taux de potassium.
Et en pratique quotidienne ?
Marie-France Muller : Sur de grosses carences minérales, on a constaté que la simple prise de chlorure de magnésium permet au corps de fixer ce dont il a besoin et de synthétiser ce qu'il peut. Et puis, l'ion magnésium entre dans la composition de plus de 400 enzymes, dans la synthèse des hormones… donc c'est un agent général qui a une fonction à la fois immunostimulante et purement stimulante. Quand on est bien fatigué, prendre du chlorure de magnésium à petite dose tous les matins, cela remet progressivement en forme.
Quand vous dites à petite dose, c'est quelle dose ?
Marie-France Muller : Un verre ou un demi-verre. Quand on parle d'un verre, c'est d'une solution avec 20 g par litre. Simplement pour se mettre en forme, en prévention avant l'hiver et quand il n'y a pas de pathologie avérée, le chlorure de magnésium est intéressant à faible dose.
Certes, le goût n'en est pas fameux. Mais les gens qui sont persuadés de son efficacité s'en fichent complètement. On en donne même aux tout-petits. L'intérêt de la solution, c'est de permettre des posologies adaptées à chaque sujet.
J'ai toujours fait prendre à mes patients systématiquement du chlorure de magnésium en même temps que d'autres compléments alimentaires.
En cas d'infection, que ce soit une grippe, une bronchite ou même des maladies plus graves, il est conseillé de suivre la posologie classique qui est d'un verre de chlorure de magnésium toutes les trois heures et puis, dès que la diarrhée est arrivée, la fièvre commence à tomber. On constate souvent que plus on a de température, plus cette réaction tarde à venir. Il faudra peut-être attendre trois jours pour voir apparaître cette diarrhée. À la suite de quoi, l'état s'améliore nettement. Dès ce moment-là, on réduit la dose, on espace les prises et tout rentre dans l'ordre. Ah, le chlorure de magnésium, c'est vraiment quelque chose de très intéressant !
Parce que cela provoque une diarrhée ?
Marie-France Muller : Le chlorure de magnésium est un peu laxatif, bien que cela ne se produise pas systématiquement. Cette réaction est tout à fait normale et n'a rien à voir avec une quelconque maladie. Au contraire, elle est souvent bénéfique pour la santé et, en général, le soulagement se produit en même temps que cette petite diarrhée. Je précise que cela n'a rien à voir avec par exemple une crise d'entérite. Les selles deviennent simplement molles (ou liquides en cas de forte consommation).
C'est du reste intéressant pour les gens constipés et la prise régulière et de longue durée de chlorure de magnésium finit par régulariser la situation.
Mais, on peut aussi prendre le chlorure de magnésium dans le cas d'une gastro-entérite. Malgré la diarrhée, parce que cela guérit l'infection.
Mais, cela n'amplifie pas la diarrhée de la gastro-entérite ?
Marie-France Muller : Au tout début, pendant une journée, et encore pas toujours. Parfois, cela calme très vite la diarrhée et en tout cas, cela rééquilibre. C'est cela qui est intéressant.
Il est également utile à titre préventif ?
Marie-France Muller : Tout à fait. En saison hivernale, c'est vraiment utile. À visée préventive, la prise de chlorure de magnésium doit être quotidienne. Prise au début d'un mal de gorge par exemple, une seule dose de chlorure de magnésium peut le faire disparaître presque immédiatement. Dans le cas d'une bronchite, il en enraye l'évolution à condition d'être pris dès les premiers symptômes.
Mais on peut aussi le prendre en continu pour la simple et bonne raison que notre alimentation est à l'heure actuelle tellement carencée que cela va quand même protéger de pas mal de choses. Il suffit d'en prendre la valeur d'un demi-verre ou d'un verre chaque jour.
Vous l'avez utilisé sur un grand nombre de patients ?
Marie-France Muller : Oui, sur tous. En général, ma secrétaire était toujours morte de rire lorsque les gens me téléphonaient. Ils disaient : « J'annule mon rendez-vous parce que je suis malade. » Tout simplement parce que je leur avais à tous appris ce qu'il fallait faire dans ces cas-là. Ils venaient me voir pour d'autres choses, comme par exemple pour établir un bilan de santé.
Je suppose que le chlorure de magnésium a également une action bénéfique sur les problèmes liés au vieillissement ?
Marie-France Muller : Oui, dans la mesure où c'est un puissant immunostimulant et que le système immunitaire s'affaiblit avec les années. Il est également vrai qu'avec le vieillissement, le taux naturel de magnésium chute de façon considérable. Le chlorure de magnésium a une action antivieillissement tout simplement parce qu'il aide l'organisme à se régénérer spontanément beaucoup mieux et parce qu'il stimule la vitalité. Mais aussi parce qu'il permet de diminuer la consommation de médicaments, notamment celle d'antibiotiques ou d'anti-inflammatoires.
Avec moins de médicaments, le foie, les reins fonctionnent mieux, ne sont plus surchargés… donc, voyez, c'est un phénomène de réactions en chaîne, en l'occurrence. Quand on prend moins de médicaments, et bien, on va déjà mieux.
Le chlorure de magnésium renforce le fonctionnement du système immunitaire. Et, du moment où l'on a un système immunitaire qui fonctionne bien, en cas d'épidémie, on peut certes attraper une infection, mais les symptômes en seront beaucoup plus bénins et elle disparaîtra rapidement.
Il ne faut pas oublier que même une petite pathologie telle qu'un simple rhume peut tuer des personnes âgées très immunodéficientes. Finalement, ce n'est pas le virus de la grippe, c'est le système immunitaire de la personne qui va « l'attraper » qui compte. Et donc, la première vertu du chlorure de magnésium, c'est de stimuler le système immunitaire. À ce titre-là, son action est polyvalente.
Avec quarante ans de pratique, je sais vraiment que c'est comme cela que cela fonctionne. Tous les inconditionnels du chlorure de magnésium le savent aussi. Car lorsque l'on commence à le connaître, on ne s'en passe plus. J'ai des petits-enfants qui n'ont jamais pris un médicament de leur vie. Entre les vitamines, minéraux, les compléments alimentaires, le chlorure de magnésium, le vinaigre de cidre… ils se passent de médicaments et ne tombent jamais vraiment malades.
Vous l'employez également en usage externe ?
Marie-France Muller : Oui, son usage externe est également très important. Les gamins qui se couronnent les genoux adorent cela : cela ne pique pas et ce n'est pas coloré. Cela cicatrise aussi plus rapidement. On peut aussi l'appliquer en compresses sur un furoncle, un abcès… Vous savez, par exemple, les ulcères variqueux sont particulièrement difficiles à guérir. On obtient de très bons résultats lorsqu'on les traite avec de l'argile verte préparée avec du chlorure de magnésium à la place de l'eau. C'est vraiment quelque chose de polyvalent.
Et puis, pour les animaux également, c'est magique. Les chiens, il est facile de le leur administrer, il suffit de l'ajouter dans la pâtée et ils l'avalent sans problème. Pour les chats, il faut les persuader un petit peu plus.
J'avais un ami vétérinaire qui s'occupait d'un refuge. On y rencontrait toutes sortes de problèmes. Il s'est mis à utiliser le chlorure de magnésium. Il a tiré d'affaire grâce à cela un grand nombre d'animaux. Les maladies de Carré étaient ainsi guéries en 48 heures par exemple, y compris la paralysie.
Il y a peu de temps, j'ai soigné un cheval de cette façon. Une de mes amies élève des animaux de concours, chiens et chevaux. Elle m'avait appelée parce qu'elle avait un cheval malade, couvert de plaies. Elle s'y était résolue après avoir longtemps consulté son vétérinaire qui lui avait dit qu'il fallait finalement abattre l'animal. Ce cheval était dans un état catastrophique, c'était une plaie de la tête aux pieds. Toute la croupe, les jambes, le poitrail, le chanfrein, les oreilles… Nous l'avons soigné essentiellement avec du chlorure de magnésium. Nous lui en avons injecté un litre trois fois par jour ; en externe, nous lui avons appliqué des cataplasmes d'argile et de chlorure de magnésium qu'on laissait en place environ une heure. Ensuite, on rinçait le cheval au jet avant de le lotionner avec du vinaigre de cidre. Ce sont des choses très simples. En deux mois, le cheval a été guéri. En quinze jours déjà l'amélioration était très nette ; en deux mois, c'était terminé. Il a ensuite fallu dix-huit mois pour que la robe soit à nouveau présentable. Et cette année, elle a recommencé à le présenter à un concours.
source : magazine nutra News
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