La liberté Retrouvée

la Pleine lune les émotions et moi......

 

Et « Non » toutes les Pleines lunes ne se ressemblent pas et comme le dit si bien cet adage « Il ne faut pas mettre tous les œufs dans le même panier ». Tout d’abord lorsque la pleine lune tombe un « Lundi » et que l’heure horaire est affiliée à la Lune, il y a de grande chance que l’on succombe aux affres de l’effet de la Lune. Ce qui sera le cas le Lundi 25 Février 2013 et j’en dirais plus dans mon prochain article.

Il est possible de travailler avec la « Lune » de ne pas se laisser piéger comme le petit insecte dans la toile d’araignée. Le fait de savoir que l’on rentre dans une zone de turbulence permet d’être vigilent. Même si l’on à un pied dedans, l’autre sera positionné à l’extérieur. Dans un autre temps l’on peut chercher à évaluer la force de la position de la Lune dans notre carte du ciel pour reconnaître si on est véritablement un individu « Lunaire ». Même sans cette reconnaissance, beaucoup se reconnaîtront lorsque la Pleine lune dévoile entièrement son côté sombre pour éclairer les nuits lors de ces phases fatales.

Comme le dit le proverbe « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point » donc cela ne sert à rien de s’alarmer à l’avance, mais la prévoyance peut aider l’individu en déficience dans la prise du recul nécessaire, pour mieux appréhender cette phase critique.  L’effet de la Pleine lune est souvent repérable lors d’une confrontation avec une autre personne, mais aussi lorsque l’on recherche inconsciemment le rapport de force sans raison apparente.

Les personnes nées sous une « phase Pleine lune » sont les premières sensibles à ce phénomène cyclique de la Lune qui peuvent attirer à elles toutes les autres dans cette spirale sans le vouloir consciemment. Et puis il y a les autres les électrons libres à la moindre secousse du flux vont être aimanté suivant la force lunaire dans leur carte du ciel.

Le conseil que je pourrais vous donner c’est à ce moment là d’éviter  la comparaison  ou la recherche de justification. Et si par malheur le raisonnement de l’autre ne fait pas écho en vous, il vous faudra abandonner ce besoin d’avoir raison. Si vous n’arrivez pas à coopérer, à collaborer avec l’autre dans ce cas il faudra tenir en laisse vos émotions.

La Phase Pleine lune favorise l’extase, l’accord, l’enthousiasme dans une idée auquel on croit. Mais on peut aussi mettre en évidence le contraire  du fait que la dualité est fortement présente au moment de la Pleine lune. C’est la  phase autant de la récolte que de l’échec et va dépendre de la qualité de votre contribution. C’est l’esprit du partage dont seul compte l’intention dans le don. La phase décroissante de la phase de la Lune dépendra comment va être intégrer en soi ce moment crucial de la Pleine lune. C’est une mise en évaluation qui fait le pont entre la phase croissante du cycle (Nouvelle lune/Pleine lune) et la phase décroissante (Pleine lune/Nouvelle lune).

Mieux vaut tenter de réussir au mieux de traverser la Phase de la Pleine lune sans trop de dommages que d’en sortir déposséder par un déchargement du flux lunaire, par effet très souvent de projection ou d’effet miroir d’un état d’esprit conditionné momentanément dans une basse fréquence vibratoire. La solution réside peut-être dans une élévation de la conscience comme le mystique lors de son illumination et s’apparente à l’explosion lunaire au moment de la Pleine lune. Se mettre en état de réceptivité pour célébrer les pouvoirs magique de la Lune mais à un niveau «d’amour universel » et non pour combler un vide intérieur plus trépidant…

©Lunesoleil

CONSEIL POUR MIEUX VIVRE CES TROIS JOURS

AVANT LA PLEINE LUNE                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                    

     

La méthode de méditation dynamique OSHO a été décrit comme une sorte de microcosme d’outlook de Osho. La médiation est censée être exécutées avec les yeux fermés (ou les yeux bandés) et compose de cinq étapes, qui sont accompagnés par la musique (à l’exception de la scène 4). Dans le premier cas, la personne s’engage à dix minutes de respiration rapide par le nez. Les deuxième dix minutes sont de catharsis: « que tout ce qui se passe se produisent. … Rire, par crier, par crier, par sauter, secouer tout ce que vous vous sentez du pour faire, fais-le! » Pendant les 10 prochaines minutes, la personne doit sauter de haut en bas avec leurs bras levés, criant Hoo ! chaque fois qu’ils atterrissent sur les méplats de leurs pieds. Dans la scène de la quatrième, silencieuse, la personne reçoit l’instruction de geler, reste complètement immobile pendant quinze minutes et de témoigner de tout ce qui leur arrive. La dernière étape de la méditation se compose de quinze minutes de danse et de fête.
Osho croit que de telles méthodes cathartiques étaient nécessaires, car il était très difficile pour les gens d’aujourd’hui de juste s’asseoir et d’être en méditation. Une fois que les méthodes avaient donné un aperçu de la méditation, les gens seraient en mesure d’utiliser d’autres méthodes sans difficulté.



23/02/2013
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